03-21-2002, 01:29 PM
Même qu'un peu plus tard on lisait dans les journaux :
A Bruxelles, un réseau bénéficiant de complicité au port d'Anvers a été démantelé
BRUXELLES En 7 jours seulement les enquêteurs ont fait un travail de Titan. En une semaine, ils ont réussi à démanteler un réseau de car-jackeurs. Cinq perquisitions menées mercredi ont abouti à l'interpellation de quatre suspects qui se sont vus par la suite décerné un mandat d'arrêt.
Tout démarre, il y a quelques semaines par un dossier concernant un hold-up. Rapidement, au fil des investigations, les enquêteurs ont compris: leurs suspects étaient également très actifs dans le trafic international de voitures volées.
Le 1 er février, Jean Coumans, juge d'instruction bruxellois, est saisi du dossier. Les choses vont une nouvelle fois s'accélérer. Mercredi, les enquêteurs ont effectué une série de perquisitions. Cinq précisément, principalement à Bruxelles, boulevard de la Cambre et dans un garage dans le quartier de la gare du Midi, à Anderlecht. D'autres ont été menées à Waterloo et en Flandre: à Sint Gillis Waas et à Anvers.Cinq véhicules, dont trois car-jackés récemment et un quatrième volé en France, ont été découverts jeudi à Anvers. Parmi ceux-ci, figuraient deux Mercedes ML, une Mercedes S 320 et une Volvo S 80, volée en France. Une des voitures avait été car-jackée le 4 février! Une des Mercedes avait été volée le 8 janvier en région bruxelloise avec violences graves et prise d'otages.Les premiers éléments de l'enquête semblent montrer que de nombreux autres véhicules car-jackés et volés en Belgique, en France et en Allemagne, avaient déjà été acheminés vers l'étranger par cette association de malfaiteurs très organisée et structurée. Effectivement, les véhicules volés étaient expédiés vers le Liban et l'Angola avec la complicité d'un employé d'une société de transport établie dans le port d'Anvers.
L'employé était chargé de magouiller les papiers d'identification du contenu des containers près à partir vers l'étranger. Au lieu d'y inscrire la mention voiture, il la remplaçait par vêtement ou ordinateur. Le tour était joué, les voitures partaient incognito vers de nouveaux propriétaires.Cette organisation avait en outre cette complicité à l'exportation, des liens avec un garage établi dans les environs de la gare du Midi, à Anderlecht.
L'enquête a également déjà permis de démontrer que cette bande avait déjà expédié des voitures vers l'étranger.
A Bruxelles, un réseau bénéficiant de complicité au port d'Anvers a été démantelé
BRUXELLES En 7 jours seulement les enquêteurs ont fait un travail de Titan. En une semaine, ils ont réussi à démanteler un réseau de car-jackeurs. Cinq perquisitions menées mercredi ont abouti à l'interpellation de quatre suspects qui se sont vus par la suite décerné un mandat d'arrêt.
Tout démarre, il y a quelques semaines par un dossier concernant un hold-up. Rapidement, au fil des investigations, les enquêteurs ont compris: leurs suspects étaient également très actifs dans le trafic international de voitures volées.
Le 1 er février, Jean Coumans, juge d'instruction bruxellois, est saisi du dossier. Les choses vont une nouvelle fois s'accélérer. Mercredi, les enquêteurs ont effectué une série de perquisitions. Cinq précisément, principalement à Bruxelles, boulevard de la Cambre et dans un garage dans le quartier de la gare du Midi, à Anderlecht. D'autres ont été menées à Waterloo et en Flandre: à Sint Gillis Waas et à Anvers.Cinq véhicules, dont trois car-jackés récemment et un quatrième volé en France, ont été découverts jeudi à Anvers. Parmi ceux-ci, figuraient deux Mercedes ML, une Mercedes S 320 et une Volvo S 80, volée en France. Une des voitures avait été car-jackée le 4 février! Une des Mercedes avait été volée le 8 janvier en région bruxelloise avec violences graves et prise d'otages.Les premiers éléments de l'enquête semblent montrer que de nombreux autres véhicules car-jackés et volés en Belgique, en France et en Allemagne, avaient déjà été acheminés vers l'étranger par cette association de malfaiteurs très organisée et structurée. Effectivement, les véhicules volés étaient expédiés vers le Liban et l'Angola avec la complicité d'un employé d'une société de transport établie dans le port d'Anvers.
L'employé était chargé de magouiller les papiers d'identification du contenu des containers près à partir vers l'étranger. Au lieu d'y inscrire la mention voiture, il la remplaçait par vêtement ou ordinateur. Le tour était joué, les voitures partaient incognito vers de nouveaux propriétaires.Cette organisation avait en outre cette complicité à l'exportation, des liens avec un garage établi dans les environs de la gare du Midi, à Anderlecht.
L'enquête a également déjà permis de démontrer que cette bande avait déjà expédié des voitures vers l'étranger.
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